
Mais depuis que Georges Bush a pris sa retraite politique et que Barack Obama est aux commandes des Etats-Unis, il se pourrait que les choses évoluent. Barney Franck, sénateur américain, tient à réguler le secteur du jeu en ligne aux Etats Unis. En effet, Barney Franck est considéré comme le Messie pour les sites de poker en ligne, casino et paris sportifs et il se pourrait que des licences américaines soient délivrées aux opérateurs de jeu online. Les Etats-Unis se baseraient en quelque sorte sur les modèles français et italiens à savoir rédiger un cahier des charges que les opérateurs devront se soumettre pour recevoir leur licence. La grande question concerne les opérateurs qui n’ont fait fi de la loi américaine et qui se sont engraissés durant 4 ans alors que la loi stipulait que tout jeu en ligne était interdit. Pokerstars et Full Tilt se retrouvent donc dans le collimateur de la justice « yankee ». Pourtant, Pokerstars soutient le projet de Barney Franck et espère que le marché du poker en ligne sera régularisé. La grande question est de savoir si les salles de poker en ligne pourront recevoir une licence ou si elles sont rejetées d’office pour manquement à leur devoir? Peut être que les deux rooms qui sont les 2 plus grandes salles au monde devront s’acquitter d’un chèque de plusieurs millions de dollars pour faire bonne figure face au fisc américain? Ceci étant, le marché du jeu en ligne aux Etats-Unis est en pleine ébullition et il se pourrait que l’année 2011 soit l’année de tous les changements pour le plus grand bonheur de Bwin et PartyGaming.
Les Etats-Unis représentent l’Eldorado des sites de jeu en ligne et les groupes comme Party Poker, Playtech, Microgaming, 888 et bien d’autres sont sur les starting block pour allumer de nouveaux les compteurs qui permettront de proposer leurs services en ligne aux joueurs américains. Espérons que des groupes comme Euro Partners, William Hill, Unibet et d’autres ne manqueront pas le coche cette fois comme ce fut le cas en France. Le slogan de campagne de Barack Obama colle parfaitement à l’industrie du jeu en ligne: « Yes we can! ». Affaire à suivre
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