
Betclic Everest Group n’est pas un cas isolé et de nombreux opérateurs en ont fait de même. Par exemple, TitanBet est sorti du marché français faute de rentabilité bien que ce bookmaker n’ait pas vraiment déployé les moyens pour se faire une place sur le marché. Le sponsoring est une des premières victimes des coupes budgétaires des sites de jeux en ligne légaux en France. Everest Poker sera moins visible autour des tables de poker après le non renouvellement des joueurs pro comme Valentin Messina (lire interview Valentin Messina : « Je suis un battant ») et Leonard Truche mais Fabrice Soulier conserve (pour l’instant?) son contrat.
Les couleurs d’Everest Poker vont perdre autant de couleurs que celles de Kodak de fait de son absence autour de tables de poker mais également dans les rectangles verts. En effet, Everest Poker s’est retiré des maillots de la bande à Didier Deschamps et pourrait faire défection à Jean-Michel Aulas , président de l’Olympique Lyonnais. Le club rhôdanien lorgne du côté des pays du Golfe où l’argent coule à flots autant que l’or noir et l’OL cherche un sponsor qui saura mettre la main au portefeuille. A croire que les nouveaux nababs du Paris Saint Germain qui ont sorti les chéquiers pour faire une « dream team » ont donné des idées au talentueux businessman Aulas: Ce dernier saura trouver un sponsor du côté du Qatar notamment qui viendra flanquer son logo sur une équipe au palmarès étonnant. Rien n’est encore sûr et il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Pourquoi Betclic Everest Poker n’irait-il pas négocier des parts du groupe avec les Qatari histoire de se faire une santé financière? Affaire à suivre.
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